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This review may contain spoilers
This whole 5 episodes runs so intense that I don't even realize it's time to move to the next episode. The first episode is quite difficult for me to understand, but it arise my curiosity, so it's a good sign for me to continue watching. I also wondered if there would be a twisted plot here (^_^) And I'm not disappointed! The twisted plot is there, with a perpetrator which completely unimaginable. And then comes the ending. The ending is ... I can't even express my feeling into words for this kind of ending. Maybe it's a satisfying bittersweet ending?After I watch this, I make a note to myself to watch Ishi no Mayu and Suisho no Kodo, also Chou no Rikigaku.
First time I saw Furukawa Yuki is on From 5 to 9, and when I watch this mini series, I personally think that his acting has undergone many developments from the first time I saw it. He indeed have a little lines, but his gesture and expressions says a lot. The other casts were did a great job too. They really appreciate their role, so they act very naturally.
Like the plot, the music is so intense and feels heavy.
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Considering the events in Ishi no Mayu and Suishou no Kodou, we as a viewer had been given lots of glimpse into Masato's past and the case that changed his life forever. Given that kind of past and complicated relationship with Kisaragi Toko, there was still a lot of things that were not known about Masato. Not to mention that despite his criminal ways, Masato still retained some kind of values and had stuck with it throughout the last two series. And I'm glad to have Aku no Hado revealed the events that occurred a year prior that jumpstarted the path that he ended up taking during the course of Ishi no Mayu.
If there's anything I'm dissatisfied about this series would be, I wished there'd be more callbacks to some of the key events in Ishi no Mayu. As well as what ended up happening after the 2014 serial murder was solved and how the case was handled that would have elevated the distrust Masato already have towards the police force.
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Le sourire du diable
3e opus de la série Satsujin Bunsekihan, initiée par Ishi no Mayu, Aku no Hado n'aurait dû être qu'un spin-off censé nous faire patienter en attendant le véritable retour de nos héros. Et pourtant, c'est à mon sens l'une des saisons les plus réussies de la série. Diffusée quelques semaines avant Chou no Rikigaku, annoncée comme le point final de la trilogie, ce court apéritif n'a de premier abord que des défauts pour le fan et pourtant…
Exit, Kimura Fumino, Aoki Munetaka et la section d'analyse criminelle de Tokyo. L'histoire se concentre uniquement sur la genèse de Doremi, le personnage central de Ishi no Mayu. Entouré d'acteur totalement nouveau pour la saga, les faits se passent un an avant ceux de la première saison. On pourra donc visionner ce court spin-off de 5 épisodes de 25 minutes même sans connaitre le reste de l'histoire ou y montrer de l'intérêt. Mais dans le cas contraire, évitez de commencer par celui-ci, ça serait gâcher.
Sans connaitre une page des excellents romans de Asami Kazufumi dont est tirée toute la saga, vous serez légèrement perdu au début par cette ambiance noir et ce personnage so(m)brement interprété par Furukawa Yuki. Les amateurs de dramas planplans, mais néanmoins de qualités, seront surpris par l'interprétation de celui qui reste l'éternel Naoki-kun de Itazura na Kiss. Si vous le suivez régulièrement dans ses dramas, où il joue trop souvent le beau lycéen, collègue ou patron ténébreux, ce drama sera vous étonner par le registre qu'il emprunte. Tour à tour flippant ou touchant, vous aurez l'irrésistible envie de le fuir ou de le prendre dans vos bras. Les évènements dramatiques de ce thriller non rien à envier au reste de la série et rajoute clairement encore une couche de noirceur à l'ensemble de celle-ci.
J'ai toujours pensé que son personnage était sous exploité, notamment dans la 2e saison. A priori, les scénaristes, le romancier et certainement les fans étaient du même avis. Ce qui aurait dû n'être qu'un apéro en attendant les mets principaux de la 3e saison, a, à mon sens, largement dépassé certaines saisons. En tout cas, par rapport à la saison 2, on est un cran au-dessus. Changement de réalisateur, peut-être d'acteurs, aussi, mais heureusement pas de la bande son. On retrouve avec plaisir celle que je considère comme une des meilleures BO du petit écran. Entendre ses thèmes depuis 2015 ne sont pas qu'une Madelaine de Proust, mais bien un moment fort de la série.
Impossible de voir le temps passer, tant la qualité de la série vous saute au visage, probablement envisagée, au départ, comme un film de 1 h 30. Sûrement, devait-il être diffusé en un one shot et en prime, à quelques jours du lancement de la 3e saison. Les producteurs ne se sont pas trompés et l'ont découpé en cinq épisodes, comme le veut la tradition de la saga, pour faire durée le plaisir et la machine publicitaire, évidement. Du coup, le visionnage passe très vite et pourtant il y a tant à dire. Les sentiments sont exacerbés. Surtout que notre héros trouve en l'actrice Sumire, l'autre point fort de la série, une sorte de miroir de son âme, on ne peut plus tourmentée. Lui renvoyant à travers ses propres fantômes, son passé et sa vie misérable. Toujours très bonne actrice, mais malheureusement pas assez présente dans les dramas, elle t'enterra de sauver Furukawa Yuki, à moins que cela ne soit le contraire. Bien sûr, si on a vu la première saison, on se doute bien de la fin de celle-ci, mais des surprises vous attendent, quand même, et vous tiendront en haleine.
Avec une ribambelle de personnages cassés par la vie, la série dépeint une fois de plus un Japon d'une noirceur sans égale. Une société qui broie ses citoyens et les transforme en âmes damnées. Un Japon loin de celui de Itazura na kiss, loin de ces cafés dans lesquels on vous en sert, décorés du petit dessin en surface et accompagnés du sourire du jeune serveur à la frange trop longue.
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