C'est un film qui ne va pas renouveler les univers dystopiques ni même les tréfonds du cinéma. Par contre, une production hongkongaise comme celle-ci, elles sont rares. Par rare, j'entends une production qui en impose sur tout, ou presque.
Les combats sont incroyables et surtout, ils ne lésinent pas dessus. Les scènes sont longues et évolutives. Nos héros reçoivent autant qu'ils donnent. On ne change pas soudainement de scènes pour y revenir plus tard et découvrir que le combat s'est achevé par magie. Au contraire ! Tu veux de la baston ? Tu en as !
Le slow-motion est sensationnel. Et j'insiste sur le mot, sensationnel. Ce n'est pas la première fois que je me fais la réflexion, le cinéma asiatique maîtrise clairement cette technique. Et lors des scènes de combat, autant dire qu'il est utilisé avec soin et ça fonctionne.
Le reste du film est très bon. Les costumes sont de bonnes factures, tout comme les décors et les CGI. De temps à autre, j'ai eu l'impression de voir du District 9 (film de 2009) ou sur les tenues/costumes/mécaniques de voir quelques clins d'œil au jeu Death Stranding (sorti en 2019).
Son défaut ? L'image. Malheureusement, on se retrouve avec l'impression que le film est en bas débit. Ainsi, la qualité de l'image n'est pas aussi spectaculaire que prévu. Si vous souhaitez chipoter, on pourra également dire que le scénario est assez classique. Mais encore une fois, je préfère un scénario simple et correct que complexe et mauvais.
Malgré son image, le cinéma sino-hongkongais n'a pas à rougir. Bien que Warrior of Future ne casse pas les codes du genre, il possède des bases solides sur lesquelles il est plaisant de s'attarder.
Les combats sont incroyables et surtout, ils ne lésinent pas dessus. Les scènes sont longues et évolutives. Nos héros reçoivent autant qu'ils donnent. On ne change pas soudainement de scènes pour y revenir plus tard et découvrir que le combat s'est achevé par magie. Au contraire ! Tu veux de la baston ? Tu en as !
Le slow-motion est sensationnel. Et j'insiste sur le mot, sensationnel. Ce n'est pas la première fois que je me fais la réflexion, le cinéma asiatique maîtrise clairement cette technique. Et lors des scènes de combat, autant dire qu'il est utilisé avec soin et ça fonctionne.
Le reste du film est très bon. Les costumes sont de bonnes factures, tout comme les décors et les CGI. De temps à autre, j'ai eu l'impression de voir du District 9 (film de 2009) ou sur les tenues/costumes/mécaniques de voir quelques clins d'œil au jeu Death Stranding (sorti en 2019).
Son défaut ? L'image. Malheureusement, on se retrouve avec l'impression que le film est en bas débit. Ainsi, la qualité de l'image n'est pas aussi spectaculaire que prévu. Si vous souhaitez chipoter, on pourra également dire que le scénario est assez classique. Mais encore une fois, je préfère un scénario simple et correct que complexe et mauvais.
Malgré son image, le cinéma sino-hongkongais n'a pas à rougir. Bien que Warrior of Future ne casse pas les codes du genre, il possède des bases solides sur lesquelles il est plaisant de s'attarder.
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