Uma série que marcou
"Pousando no amor" é literalmente o título indicado para aqueles que amam uma história de romance envolvida com muito suspense e momentos que aquecem o coração. Os atores são espetaculares, com a química incrível que faz o corpo explodir de endorfina. Fiquei diabética vendo essa série de tão doce que é o casal principal.A cinematografia é linda, apresentando diferentes lugares de uma forma que aumenta a dimensão da história vivida pelo casal.
Atores secundários também deram um show e, na minha perspectiva, podem até mesmo ser considerados como protagonistas. O enredo bem pensado, cativante e fofo.
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Altamente recomendado para quem gosta de drama históricos com política.
A histórica política é show de bola, bem costurada do inicio ao fim, com todos os personagens se envolvendo de forma ativa para o desenvolvimento dela.A atuação também foi excelente , principalmente do personagem principal, do secretário chefe, eunuco Jo, e o ministro da esquerda.
Só não dou 10 porque o final foi levemente wtf, e o romance também não foi um "nota 10", algumas vezes a rainha tinha falas repetidas e os momentos deles dois juntos não foram tão envolventes.
Também faltou certo equilibrio, o bem sempre vencia em todos os episódios, diferente dos outros dramas que geralmente o vilão tá sempre um passo a frente, aqui os heróis estão sempre um passo a frente, e isso quebra um pouco a imprevisibilidade.
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O elenco é incrível, as atuações são maravilhosas, a história é ótima e bem desenvolvida.
O casal é super fofo, tem tanta química e uma conexão incrível.
Eu também adorei a amizade da Hyejin com a Hari, pra mim foi a melhor amizade feminina de doramas que eu já vi. As duas super se apoiavam e sabiam o que tava acontecendo com a outra sem nem perguntar, e o melhor: mesmo tendo um homem no meio elas nunca brigaram por isso.
Fora isso o dorama é muito divertido, eu ri muito, é cada situação!
Super recomendo!
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La vería de vuelta
Si digo de que se trataba la verdad que estaría mintiendo. Solo me acuerdo que va de tres historias en paralelo de tres hermanos que se enamoran de diferentes personajes pintorescos.Es una linda serie en el sentido de que sirve para el fin que está creada. Su trama es simple (chico rico se enamora de chico pobre), los personajes se van demostrando cariño de manera medio rápida pero acorde con el tiempo que dura la serie y la verdad que me acuerdo del final porque están todos alrededor de una mesa comiendo y siendo ellos mismos, felices.
Ah, y creo que había un quilombo con algo de la familia de los chabones ricos o algo así pero la verdad que mirenla porque les va a gustar y de paso se enteran de como iba eso.
Yo capaz que la re-miré, por lo menos para acordarme los nombres de los personajes lpm.
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Se nel suo primo drama parlava di temi come la donna nel mondo lavorativo, gli ostacoli che devono superare gli orfani e la differenza d’età nelle storie d’amore, qui si denunciano altri argomenti non meno importanti.
Infatti, il protagonista della storia è Ji-ho, un padre single, che affronta tutti i giorni i pregiudizi e le difficoltà per crescere il piccolo Eun-woo. Tutte le persone che lo conoscono pensano che sia un ragazzo favoloso, ma ancora nessuna è riuscita a farlo innamorare di nuovo. Sarà Jung-in ad avvicinarsi piano piano a lui, proprio lei che è ad un passo dal matrimonio, ma che non si vuole sposare perché ritiene che non ci sia più amore nella loro relazione, ma interessi economici e familiari.
Anche con le storie secondarie si mettono a fuoco alcuni difetti presenti in questa società. Un esempio lampante è la sorella della protagonista che subisce violenze domestiche: all’inizio le viene quasi fatto capire che deve sopportare perché ogni matrimonio ha il suo lato negativo.
Perché, dopotutto, in questo drama ciò che tiene incollati allo schermo, non è tanto la trama delicata e lenta (da non confondersi con noiosa), ma è proprio le reazioni che hanno i personaggi alle varie difficoltà.
Se state cercando azione e dinamismo, questo drama non fa per voi! Se invece cercate una piccola coccola che vi scaldi il cuore, questo è il drama giusto.
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Le drama qu'il ne faut manquer à aucun prix !
Synopsis (nécessaire pour un peu d'Histoire)Sung Deok Him est destinée depuis sa petite enfance à devenir dame de la cour royale. Elle va apprendre tout ce qui fait une dame du palais : lire, écrire, comment se tenir, comment parler, tous les gestes de l’étiquette. Elle est heureuse de son sort, elle est fière d’être attribuée au service du palais du Prince héritier, qu’elle devra servir jusqu'à ce qu’il soit intronisé, et alors elle sera soit renvoyée, soit attribuée au palais royal… elle n’a pas le droit de se marier, ni d’avoir des enfants, elle appartient au Roi, comme tous les serviteurs, dames de cour ou eunuques, les dames de la cour ont un statut d’esclave.
Il y a le prince héritier Yi San et ce n’est pas n’importe quel prince héritier lambda du sageuk de base. Non, c’est le petit-fils du roi régnant, Yeongjo et le fils du prince Sado, exécuté par son père quand Yi San n’était qu’un enfant de 10 ans. On a déjà croisé ce prince Sado dans Secret door, et son fils, le roi Jeongjo dans Painter of the wind, ou Sunkyungkwan scandal. Il y a deux versions : il aurait été embringué dans un complot qui aurait fait croire à une trahison, ou alors c’était un psychopathe, violant, assassinant à tout va. Le fait est que son père le fait enfermer dans un coffre à riz jusqu’à ce qu’il en meure.
Notre héros porte cette charge mentale ,pour parler comme aujourd’hui, et se trouve constamment soupçonné de devenir comme son père, sans arrêt en but à des complots visant au mieux à le détrôner, au pire à lui ôter la vie. Bref, il navigue à vue sur une mer semée d’embûches et d’écueils.
Quand Deok Kim rencontre Yi San, elle ne sait pas qui il est, et le traite donc comme n’importe quel personnage de la cour et cette erreur va permettre la création d’un lien de confiance entre eux, car le prince qui ne peut respirer sans craindre, trouve là une attention sincère et franche.
Ce que j’en ai pensé :
C’est un magnifique sageuk, un des plus beaux, dans la catégorie « sageuk historique » c’est à dire très enraciné dans l’Histoire réelle. Toute la trame historique est vraiment respectée, les scénaristes se sont donné libre cours dans l’écriture des personnages et de leurs sentiments, tout en les faisant parfaitement coïncider avec le contexte historique. C’est la première fois qu’on se penche sur la condition de ces femmes toujours là mais n’ayant pas d’existence personnelle : les dames de la Cour. Le scénariste s’est attaché à créer un magnifique type de femme en la personne de Deok Him, à la fois complètement investie dans on rôle de servante et en même temps voulant conserver la liberté qu’elle a su trouver dans cet accomplissement. Elle s’est créé un univers de complicité et d’amitié et sait qu’elle sera totalement isolée si elle devient concubine royale, elle le refusera autant qu’elle le pourra, puis finira par accepter mais en refusant d’admettre à haute voix qu’elle aime le Roi, car c’est la seule liberté qui lui reste. Et pourtant c’est bien par amour qu’elle accepte, car la c’est la perspective de ne plus jamais le revoir qui la fait céder à l’ultime demande. Jusqu’à l’ultime adieu, le Roi posera la même question : « m’as-tu jamais aimé ? » et elle répondra » serais-je ici si je ne vous avais pas aimé ? j’aurais trouvé un moyen de m’enfuir à tout prix… » Quelle force que cette femme qui maîtrise ses sentiments d’une volonté de fer !
Le Roi est l’autre personnage fascinant de l’histoire : d’abord Prince héritier, on est loin du prince romanesque habituel, c’est un personnage politique, constamment tenu en haleine par la crainte de perdre la vie, en même temps persuadé d’avoir un rôle à jouer pour son pays, investi de son rôle mais sachant qu’il y aura toujours quelqu’un pour lui refuser sa légitimité du fait de la mort infamante de son père. Il tombe amoureux de Deok Him mais plutôt que tomber, il s’élève par cet amour, qui lui donne un point d’appui et elle va lui devenir complètement essentielle. Tant qu’il est prince héritier elle est à son service et fera tout pour l’aider et le protéger, mais quand il devient Roi, elle prend du recul. Il est le Roi, il pourrait tout à fait la contraindre, personne n’y trouverait rien à redire ! Mais il sent bien qu’il y perdrait l’essentiel de son être, son estime, on le sent plusieurs fois sur le bord d’user de son pouvoir, mais la force de volonté qu’il sent en elle le retiendra jusqu’à ce que ce soit elle qui fasse le tout petit geste qui montre qu’elle va enfin accepter. Car si à nos yeux d’occidentales modernes le Roi est un égoïste profiteur, il est plutôt une exception remarquable à l’autoritarisme patriarcal de règle en Joseon.
Il est à remarquer que jamais Yi San n’oublie qui il est il se comporte toujours en Roi, même dans les moments où parlent les sentiments, il reste le Prince, ou le Roi et on ne peut qu’admirer la façon dont le scénariste a écrit son personnage, capable de décisions terribles mais capable aussi d’en souffrir et d’en être marqué . Les deux héros resteront fidèles à eux-mêmes d’un bout à l’autre du drama.
Sur les 17 épisodes, 15 sont consacrés à cette magnifique relation amoureuse (avec naturellement tout un tas d’autres histoires de complots, de sociétés secrètes, de luttes d’influences et autres intrigues de cour) mais l’épine dorsale du drama, c’est la relation entre Deok Im et Yi San.
Dans les deux derniers épisodes la relation est là aussi, mais plus en souvenir car si on regarde sur Wikipedia la vie du Roi Jeongjo, dans le chapitre épouses et descendances, on sait que ça ne va pas être heureux… mais les scénaristes se sont arrangés pour que nous pauvres téléspectatrices (teurs, s’il y en a) n’aient pas le cœur complètement brisé !
Et c’est là que j’attendais au tournant le scénariste, parce que ça n’avait pas intérêt à tomber dans la guimauve ridicule !
J’ai vu le dernier épisode et il est parfait ! Car, comme il a déjà été dit, l’essentiel est la relation entre le Roi et la Concubine royale, devenue dame Uibin. On a encore sauté quelques années, l’épisode débute par la mort du prince héritier de 3 ans, d’une maladie éruptive, et Uibin ne va pas s’en remettre. Elle va positivement s’éteindre, malgré ses efforts pour l’enfant qu’elle porte, et je dois dire que la scène de sa mort, quand elle dit au Roi qu’elle préfèrerait voir ses amies parce que lui a beaucoup de soutien mais qu’elles n’ont que son amitié, la douleur du Roi m’a littéralement percé le coeur… Et durant la seconde partie de l’épisode, à partir du jour où le Roi choisit « d’oublier » parce qu’il a son devoir de roi à accomplir, on va s’éloigner de la vie de cour des discussions entre nobles de l’opposition à Jeongjo et on va retrouver le Roi à 50 ans (ils auraient quand même pu le vieillir un peu plus qu’une petites barbiche grisonnante, mais je chipote) La scène très touchante où le second conseiller de gauche reconnaît qu’il a été un excellent roi (alors qu’il s’est constamment opposé à toutes ses décisions) m’a émue, ainsi que la même remarque d’un homme du peuple qui ne le reconnaît pas. Le Roi étant malade, je voyais une fin classique arriver, mais là les scénaristes ont eu un coup de génie ! Le Roi se réveille, comme ce jour où il avait dormi tout l’après-midi sur les genoux de sa maîtresse, jeune à nouveau, et elle lui parle comme elle l’avait fait, lui disant qu’il sera en retard… Qu’on l’attend… mais il reste… Alors ce n’est pas une rencontre dans une autre vie, c’est comme s’ils s’étaient retrouvés dans des limbes où, comme elle le dit ils vont vivre leur éternité… C’était parfait, pas de guimauve, pas de retournement ridicule et impossible, pas de happy end, seulement un habile jeu de scénario qui évite qu’on se retrouve ravagés de chagrin pendant des jours…
JunHo est éblouissant, déchirant dans le chagrin, juste dans l’autorité, sensible, il n’y a pas une seconde où il n’est pas le personnage dans son entièreté ! Il est le Roi parfait.
Le Si Young est aussi à la hauteur de ce roi étincelant, elle porte très bien ce caractère original de femme qui ne veut absolument pas ce que toutes les autres rêvent d’obtenir.
Il y a d’autres personnages passionnants, entre autre le grand-père, le vieux roi Yeongjo, emporté, torturé par le fait d’avoir dû exécuter son fils, par la peur permanente de voir chez le petit-fils des signes de la folie du père, petit-fils qu’il aime plus que tout mais qu’il surveille et soupçonne tout le temps, et là aussi, la relation des deux hommes est remarquable, entre l’amour, la peur, la violence, la mort n’est jamais très loin…
Un autre personnage intéressant et lui aussi plein d’ambiguïté, déplaisant, irritant et pitoyable pour finir, c’est le conseiller Hong, placé depuis l’enfance auprès du prince, son ami d’enfance, mais dont le prince ne saura jamais quel est son degré d’intéressement ou d’amitié réelle …Il s’est dévoué au Prince ou plutôt à la fonction, et n’a jamais vraiment compris l’homme…
Quelques autres portraits de femme aussi, la reine douairière, « grand-mère » du Prince, ou sa mère biologique, la Dame de La cour en chef, les amies de Deok Im…
Que dire de plus ? pas de longueurs, pas de flashback inutile… La musique est belle, discrète, peu de chansons très bien placées et jolies, images très belles mais on nous épargne tous les fastes habituels : mariage, couronnement, etc…
D’ailleurs, tiens ! La Reine ! On n’en parle strictement jamais !!! Au point que je me suis longtemps demandé comment ça se faisait que personne ne parlait de le marier, plutôt que lui trouver une concubine ! On apprend incidemment son existence au milieu de l’épisode 16, je crois… quand le Roi estime nécessaire d’aller la voir…Alors, là, quand même, je sais que c’est Deok Im l’héroïne, mais il semble qu’on aurait pu au moins mentionner le mariage du Roi, ne serait-ce que par une phrase !
Au niveau invraisemblance à part le sauvetage bizarre de la vieille dame de la cour sortie de son cachot on ne sait comment je n’en ai pas vu d’autres…
Je remarque aussi l’effacement total de ce qui a fait surnommer Jeongjo le champion de l’amour filial, la construction de la ville de Suwon, sa forteresse surnommée « forteresse de l’amour filial », le tombeau son père, et son souci constant de le réhabiliter en tant que roi.
ça n’a pas d’importance, on a sauté de nombreuses années après la mort de Uibin, donc tout ce qui concernait la vie royale ne nous concernait plus…
En conclusion, c’est vraiment un drama superbe par la magnifique écriture des personnages et des dialogues, par le souci constant de respecter l’Histoire (en sachant très bien ne pas s’encombrer de détails) Encore une fois il faut voir JunHo incarner ce Roi, il est positivement habité par le personnage… Il est magnifiquement dirigé, entouré, soutenu et l’ensemble est inoubliable !
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Super valorizada
Minha opinião sobre esse drama talvez seja um pouco impopular, mas afinal, ninguém precisa concordar comigo não é mesmo?Roteiro: O roteiro segue o manhwa, ok, mas já que algumas coisas foram modificadas, se colocassem um pouco mais de expressão e menos rabugice no Cho Sang Woo (Jae Chan- membro do DKZ) com certeza ninguém morreria. A escolha dos atores chama mais atenção pela beleza dos dois, pois tanto Jae Chan quanto Park Seo Han (ex membro do KNK) são belíssimos, mas sinceramente, não consigo ver a química absurda que tanto falam, e olha que já revi a série duas vezes e assisti ao filme, mas minha opinião não mudou.
Em meio a vários clichês, como a diferença de personalidades entre o casal, temos também a quebra de outros, isso sim é interessante! Um Júnior simplesmente desafiar seu sênior a ponto de não permitir a formatura dele, por não se curvar ao sistema autoritário vigente, de que os juniores tem que obedecer cegamente seus seniores é novidade pra mim, pelo menos nessa proporção.
Outro ponto, é que o poder aquisitivo aqui não é realmente colocado como um ponto importante, bem como também não existe o estereótipo de seme e uke ao qual a indústria nos acostumou. Também não consigo definir exatamente quando um começou a amar o outro, talvez pelos poucos e curtos eps.
Sobre a atuação, foi muito boa, especialmente do Jae Chan, pois tem que ser ótimo ator, para sendo um idol, passar toda uma série sem esboçar nenhuma emoção. Park Seo Han também foi muito bem, ele conseguiu fazer eu realmente gostar do personagem dele.
Outros detalhes da produção, como a fotografia, as cores, a ost perfeita, e mesmo com algumas modificações, como a retirada do cigarro, a essência do manhwa ter sido mantida, são elementos importantes que fizeram parte da receita do sucesso e da idolatria de alguns fãs.
Enfim, é uma boa série, mas em hipótese alguma eu daria nota 10, apenas pela falta de química e pela personalidade do Cho Sang Woo, que apesar de agir de forma correta, é extremamente chato e cansativo. No mais, indico a série sim.
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Les rôles leads sont très justes et très bien dirigés, j'ai eu , je dois l'avouer, quelques réticences concernant Jo In Seong (Jang Jae Yeol) car je ne l'avais jamais vu dans un autre drama, je trouvais qu'il ne convenait pas pour le rôle, mais en fait qu'elle erreur! Il a su me montrer au cours des épisodes un jeu d'acteur époustouflant.
Ce drama arrive à nous parler de sujets très tabous avec une simplicité et une fraîcheur qui fait vraiment plaisir, on vit avec les personnages et on ressent très vite de l'empathie pour chacun d'entre eux.
D'ailleurs, il faut noter que chaque acteur, que ce soit des premiers rôles ou des secondaires jouent tous à la perfection, j'ai rarement pu assister à une direction aussi bien menée.
Mention spéciale pour les deux colocs : Seo Dong Il (Jo Dong Min) et Lee Kwang Soo (Park Su Gwang) qui apportent beaucoup d'humour à chaque fois qu'ils apparaissent mais savent également rester graves dans les situations difficiles.
En effet, ce drama traite de sujets graves et tabous mais il nous montre aussi que la vie est pleine d'humour et de moments de convivialité.
Enfin, et je pense qu'il est important de le noter, enfin un drama coréen plus désinhibé! Des scènes de bisous à foison, on nous montre la réalité des relations de couples et, pour une fois, on a pas l'impression de voir des trentenaires réagir comme des enfants de maternelle. Ce drama est plus proche de la réalité car même s'il est vrai que les coréens (pour ne citer qu'eux) sont bien plus prudes que les occidentaux, ils ne vivent pas non plus à l'époque Joseon, les mœurs évoluent et il est bon de le montrer dans les séries actuelles.
Je conseille vraiment le visionnage de ce drama, c'est vraiment un gros coup de cœur pour moi.
Maintenant, à vous de vous faire votre avis !
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FENOMENAL, SEM MAIS
Faço parte do fandom BL de forma assídua e fiel desde 2007, quando tudo era mato e o processo de conseguir ver os projetos era árduo. De lá pra cá, já se vão mais de 500 séries BL de diversos países da Ásia, então posso dizer com lugar de fala e categoria: KinnPorsche é uma das melhores séries já produzidas até hoje, e estou escrevendo essa resenha em 2023, quase um ano depois do lançamento da série.O sucesso estrondoso se deve a muitos fatores, mas creio que a quantidade de polêmicas em que a série esteve envolvida, realmente foi algo que prendeu os fãs. A série foi anunciada pela primeira vez em 2020, a novel ainda estava sendo escrita (terminou em 2021), pelos autores conhecidos por "irmãos DAEMI", um casal de irmãos extremamente problemáticos e polêmicos. Os primeiros produtores tiveram que sair do projeto por não conseguirem se entender com eles, e com isso, mais polêmicas, o medo da série não sair do papel e a esperança de que tudo se resolvesse. Em meio a esse alvoroço, a produtora "Be on Clould" assumiu o projeto, acalmando temporariamente os fãs, mas a calma durou pouco, pois em breve anunciaram a saída de alguns atores, entre eles, Gameplay, ator que tinha um ship com Jeff Satur na época, o que não agradou aos fãs do casal.
O investimento feito na série foi fenomenal. há quem diga que boa parte desse investimento veio do ator principal (Mile), intérprete de Kinn, apenas para realizar seu sonho de atuar, não posso afirmar se é verdade, mas o fato é que muito dinheiro foi envolvido e uma super produção foi ao ar. Após o fim da série, o elenco entrou em uma turnê mundial e chegou a formar uma banda, porém após os escândalos envolvendo um dos atores principais, Intérprete de Pete (Build), as chances de uma segunda temporada foram por água abaixo.
A série foi perfeita? Não! Teve coisas que não gostei? Com certeza! Mas negar a obra de arte que ela foi deveria ser considerado pecado. Antes de ver a série eu li a novel, confesso que não gosto de fazer isso, mas a curiosidade foi mais forte. E um dos pontos que deveria ter sido melhor para mim é o fato da parte final da série não ser fiel à novel, pois as coisas se encaminharam para uma aparente segunda temporada, tanto pelo fato da mãe de Porsche e Porchay ainda estar viva (na novel ela está morta), como nas palavras finais do pai de Kinn, tanto pelo fato de não terem explorado o romance de Kim e Porchay, tudo dava a entender que para que as peças se encaixassem perfeitamente, deveria ter uma próxima temporada. Aí veio a confusão entre o ator e a escritora e tudo foi parar no tribunal, segunda temporada, bye bye, saudades do que a gente não viveu kkkkkk.
No aspecto técnico, não tenho nada para reclamar. As cenas são absolutamente irretocáveis, desde a atuação, entrega e química fenomenal entre todos os atores, que se encaixaram de forma perfeita em seus papéis. As cenas de luta são muito bem coreografadas, e até a fumaça vermelha na hora dos tiros, que me incomodou tanto no começo, passou a fazer sentido para mim.
A série teve uma filmografia, cenografia e fotografia que foram totalmente inovadoras, o uso das cores era totalmente ligado à psicologia de seus significados, e a mudança de cor acompanhava as mudanças de humor, de cenário, de situação. Cores quentes em momentos quentes ou felizes, cores sombrias em momentos de tensão.
O uso de espaços grandiosos nas cenas de suspense para dar o efeito de medo, a forma como as cenas eram filmadas, de ângulos belíssimos, inteligentes e eu diria que até improváveis. A continuidade das cenas, não existiam cortes "do nada", seguidos por uma cena que não se conectava à anterior. A música simplesmente perfeita complementando a obra e sendo o xeque- mate.
Outro ponto, é a imprevisibilidade. Cada ep traz uma dose de adrenalina diferente, ou por causa de uma cena de ação bem - feita, ou por causa de uma cena de sexo espetacular, às vezes nem precisava do sexo, mas o romance fazia-nos encantar, ou tudo isso se misturava e nos deixava enlouquecidos, como nas cenas de ação em que Kinn e Porsche achavam tempo para sacanagem em meio aos tiroteios. Os sentimentos em relação aos atores mudam, uma hora você confia nesse, no próximo ep já acha que ele é um traidor e por aí vai.
Outra coisa que amei, foi o fato da homossexualidade ser tratada da forma mais natural possível, existiram dramas por tudo, menos por isso, justamente numa série de máfia. Gostaria muito de ver o desenvolvimento de Kim e Porchay, mas, infelizmente parece que não vou ver.
Enfim, o tipo de série que trouxe milhares para o fandom, e que eu ainda irei rever mil vezes. Eu panfleto KinnPorsche em toda e qualquer oportunidade. Por favor, não parta dessa vida sem ver essa obra de arte.
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Expectativas frustradas da minha parte
Evolução lenta da história e problemas que não fazem sentido pra dois adultos.É totalmente plausível a estranheza dos outros por causa desse romance, já que eles sempre tiveram muita proximidade. Mas na minha opinião, não era um amor proibido. A mãe da protagonista valorizava muito mais o status social que o caráter do namorado da filha. Mas a filha, mesmo com 35 anos, só foi seguir suas vontades no último episódio. Faria sentido se fosse um romance adolescente, mas no contexto de dois adultos, não acho crível.
Gostei dos primeiros episódios e do último. Os do meio são um marasmo.
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não recomendo, ruim dms
eita doraminha ruim, só terminei de assistir pq ele é muito pequeninho, deu até dó de deixar sem terminar.não sei oq falar? só sei que é ruim, tipo, não acho que vale a pena terminar esse dorama, vc passa raiva, a protagonista também tem uma certa dependência no protagonista, achei os personagens secundários tão interessantes
a história é meio rasa, levemente problemática, aquele professor deles é maluco, fiquei com ódio/nojo dele, insuportável, não sei como conseguiu ser professor, e aquela loucura da amiga da protagonista começar a gostar do cara na reta final do dorama? nem gosto de falar disso, pq me dá é raiva.
não recomendo o dorama, chato dms, te faz passar raiva e não compensa a raiva que passou, me acho até boa de mais pra ter colocado 6 na avaliação, merecia bem menos.
e falando aqui em outra coisa, mds os looks da protagonista eram tão feios, horrosos, tenebrosos, coisa de gente velha.
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Versione cinese di Hana Yori Dango
Avviso che potrebbero esserci spoiler nella recensione.Premetto era da un po' che il titolo girava su Netflix e dato che avevo letto il manga, visto l'anime e visto l'adattamento giapponese, l'ho iniziato per curiosità.
Storia
I punti fondamentali del manga sono stati più o meno toccati tutti, la cosa che mi è veramente piaciuta è lo spirito di gruppo, amicizia, fratellanza che lega i personaggi; complice anche il fatto che si sia creato un bell'ambiente sul set.
Secondo me ambientarlo all'università è stato un errore, soprattutto all'inizio quando gli atteggiamenti dei protagonisti sono a tratti immaturi ed infantili soprattutto per quanto riguarda Daoming Si, se fosse stato ambientato alle superiori come doveva essere, questa cosa si sarebbe vista di meno.
Poi gli F4 campioni mondiali di Bridge!?! E un giro di Canasta non glielo vogliamo far fare?
Siamo seri, se tenerli come rampolli delle famiglie più in vista non piaceva, almeno potevano utilizzare che ne so il poker o altro sport di squadra, in alcuni momenti forse sarebbe stato più funzionale anche alla narrazione, anche perchè poi nell'evoluzione della storia se ne parla sempre di meno.
Per me 49 episodi sono stati troppi, già nel manga la storia tra i due protagonisti è un lungo tira e molla, in questa versione si vede che hanno allungato e gli autori sono andati un po' a braccio, soprattutto negli episodi finali.
Il momento matrimonio mi è sembrato troppo forzato, mi volete dire che dopo lo sciopero della fame che fanno entrambi i protagonisti per contrastare la madre di lui, a Daoming Si non bastava come prova d'amore. Dovevano mettere in scena quella specie di scherzo per mettere Shanchai alle strette e davanti al fatto quasi compiuto? L'ho trovato fin troppo esagerato, potevano tranquillamente finire con una degna proposta di matrimonio come nel manga.
Personaggi/Cast
La mia coppia preferita continua ad essere quella di Ximen e Xiaoyou, anzi qui li ho apprezzati ancora di più perchè gli autori hanno dato una sorta di chiusa della loro storia piuttosto che nel manga, vuoi anche il cambio del background di Ximen, inoltre ho trovato anche una bella chimica tra i due attori che li hanno interpretati.
Per quanto riguarda Daoming Si e Shancai, io dopo un tot non riesco più a reggere il personaggio di lei, è una cosa che mi porto dietro dal manga ed in questa versione, visto alcune lungaggini, ne ho sofferto particolarmente. Poi un applauso all'attrice(passatemi l'ironia) e alla gamma di espressioni tra l'inquietato e lo schifato quando Deoming Si le si avvicina, per amor del personaggio possa capirla fino a metà drama poi no.
Visivamente parlando come coppia li ho trovati molto carini, poi il personaggio di Daoming Si si porta dietro una bella evoluzione che è stata sviluppata al meglio. successivamente ho visto Dylan Wang in altri drama , trovo che abbia un bel potenziale, è giovane quindi ha possibilità di crescere.
Mi è spiaciuto un po' per la coppia di Huaze Lei e Jing dato che la storia rimane con un finale aperto.
A me solitamente non danno fastidio gli inserimenti commerciali, ma in questo drama in alcuni momenti li ho trovati persino eccessivi, tra tutti lo Yakult che hanno messo un po' ovunque e lo shampoo clear.
Solitamente non faccio rewatch e quando li faccio rivedo i miei episodi preferiti di un drama o di una serie, quindi il mio giudizio è sempre basso.
Ho apprezzato particolarmente la musica.
Sono lontana da giudicarla la mia versione preferita, ma ho trovato tutto il cast convincente e la storia abbastanza godibile, il mio voto è dato prevalentemente dalle lungaggini che potevano essere evitate.
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это жизнь без прекрас
Потрясающая жизненная мини-драма дорама. Пять серий как на иголках и море слез. Отыграли просто потрясающе. Но судя по рейтингу - не все поняли, значит жизнь хорошая (рада за вас).Побольше бы таких жизненных вещей.
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Un petit sourire, pour la photo
Nous avons ici (les "vrais" savent), une Review de Radiation House, 3 ans après sa sortie sur le petit écran. Vous vous en doutez une nouvelle saison arrive bientôt et le souvenir des bons moments passés à mater cette série, à l'époque, m'oblige à m'y replonger pour profiter à fond de la nouvelle. Et je peux dire que je ne regrette en rien le re-visionnage complet d'une des meilleures série médicale ... ou pas, d'ailleurs que j'ai pu voir. Chaque moment me rappelle pourquoi je l'ai tant aimé il y a maintenant fort longtemps et me l'a fait encore aimer aujourd'hui.La réalisation est impeccable. Les décors sont réalistes et certainement réelles. On est plongé dans un hôpital (d'où le temps d'attente pour la saison 2, certainement, COVID oblige). L'action se passe en grande partie dans le secteur Radiologie, avec des longs travellings dans les couloirs, salle des machines et bureaux des radiologues. Souvent en un seul plan séquence, on passe d'une pièce à l'autre, avec un enchaînement d'acteurs et d'actions à l'écran sans la moindre coupure. Heureusement qu'il y a de la pub toutes les 10 min au Japon, pour souffler. Aucun temps mort dans les scènes et on se retrouve plongé au cœur de l'action avec cette impression de faire partie de l'équipe. Mais d'être totalement inutile, à courir toujours après nos collègues et avoir un temps de décalage.
Un peu comme Hirose Alice (qui d'autre, pour jouer la newbie ?) qui débarque fraichement sortie d'une formation de technicien dans ce service de radiologie, qui, présenté ainsi à tout d'un métier ennuyeux où l'on va enchainer patients, installations devant les machines, prises de photos, et cela, jusqu'à la fin de sa vie, en obéissant sagement aux ordres des médecins radiologues. Bonjour le Powa-hara, donc. Mais le cœur de l'histoire ne se focalise pas sur Alice-chan qui n'est qu'une extension de notre regard (et quel regard), mais bien sur le duo Honda Tsubasa et Kubota Masataka, vieux amis d'enfance dont un seul des 2 s'en souvient. Une histoire donc d'amnésie et d'amour de jeunesse, au cœur d'un service médical dont vous connaitrez tous les rouages et les luttes de pouvoirs. Comme d'habitude vous aurez une folle envie de devenir technicien en radiologie, tant vous voudrez de faire partie de cette équipe composée de bien plus de personnages déjà cités et surtout ressemblant fortement à une classe de lycéen déjantée. On trouve le beau gosse au pouvoir de persuasion tellement flippant, la beauté froide cassante, mais pas que, le maladroit poltron et héros qui s'ignore, des chefs de services ignobles, incompétents et carriéristes et une présidente bienveillante, mais manipulatrice et fofolle. Ce Drama, adapté évidement d'un manga, vous fera furieusement penser à GTO, transposé en Radiologie et c'est peut-être pour cela que je l'aime tellement.
Mais c'est aussi et surtout pour Kubota Masataka. Il joue ici un de ses meilleurs rôles, en Technicien/Médecin complètement lunaire, mais d'une compétence folle dans tous les domaines, sauf en amour évidement. Amoureux transi et maladroit invétéré, il est d'une drôlesse exacerbée et vaut à lui seul le visionnage, re-visonnage et re-re-visionage de la série. Bien sûr, des histoires parallèles avec une pléthore d'acteurs, en guest, viendront étayer la série. On aura beaucoup de plaisir à tous les revoir. Comme il se doit chaque personnage récurant aura sa petite histoire, mais on a ici une réalisation et un scénario qui permet d'avoir toujours de la place pour tout le monde dans chaque épisode. Contrairement au récent Night Doctor, par exemple.
On appréciera les trouvailles d'angles de caméra ou les utilisations des écrans, toujours à bon escient. Et heureusement, car ils sont omniprésents, comme toute cette technologie, mais avec justement avec les relations humaines tellement mises en avant dans cet environnement trop froid et technologique. Tout vous réchauffera le cœur, y compris cette musique si parfaite et si ... médical. Et comment ne pas sourir de bonheur en entendant Man with a Mission en Ending ? Et mieux que ça en ayant le groupe au cœur du scénario d'un épisode. Pour la saison 2, je ne peux dire qu'une chose "Fly Again" (les vrais savent !).
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